Les Trois-Ponts : c’est un des hameaux les 
plus récents de la commune puisqu’il n’apparaît dans aucun texte ancien. Le toponyme provient évidemment des multiples ponts (4 aujourd’hui) qui caractérisent ce nœud de communications.
La Bruguière : la « Mansus de Brugueria » est citée pour la première fois en 1466 par maître Montfajon, notaire au Vigan.
La Fabrègue : « terra Fabrorum » en 1320, dans le Chartrier d’Alzon. Le nom du lieu semble provenir de l’occitan « fabrarià », la forge, ou « fabrega », la fabrique.
Le Crouzet et Crottières: le Crouzet est cité pour la première fois dans les actes de Maître Bilanges, notaire au Vigan, en 1513, sous l’appellation : « Mansus de Croseto ».
Lembrusquière et le Tour: Lembrusquière apparaît pour la première fois en 1263 sous l’appellation de « Mansus de Lambrusqueria », dans le Chartrier d’Alzon.
Estelle : apparaît en 1315 sous la dénomination de Serrum Stelles, dans les archives des vicomtes d’Alzon. Le « territorium de Stela » est mentionné en 1472 par maître Razoris, notaire au Vigan.
Le Villaret : « mansus de Villareto » en 1263, dans le Chartrier d’Alzon. L’origine de ce toponyme est confirmée par l’archéologie : c’est la villa gallo-romaine.
Bonnels : « territorium vocatum de Bonnali » en 1284, dans le Chartrier d’Alzon. Le hameau de Bonnels est aujourd’hui ruiné dans sa plus grande partie.
Blanquefort : « Blanca fort » en latin, cité pour la première fois en 1245 dans le cartulaire de Notre Dame du Bonheur, aurait abrité, comme son nom semble l’indiquer, une résidence seigneuriale fortifiée.
Peyraube : c’est aujourd’hui le hameau le plus peuplé de la commune, avec près de 60 habitants à l’année, loin devant le bourg centre.